Alors qu’aucun travail académique n’avait été publié jusque-là sur le sujet, Marie Salaün et Jacques Vernaudon se sont penchés sur la prison à Tahiti en effectuant une étude de terrain dans les deux principaux établissements de l’île : Tatutu-Papeari et Nuutania.
[...]
Ils sont allés à la rencontre de trois types de public : les surveillants et conseillers d’insertion et de probation, les détenus, et leurs proches. In fine, cette étude nous en apprend autant sur la prison elle-même que sur la société polynésienne aujourd’hui. (éditeur)