« Le journal que vous allez lire est celui d’un homme de 76 ans, Calédonien depuis près de trente ans, retraité depuis dix ans. Malgré les heurs et malheurs d’une vie d’homme, il a choisi de rester dans ce pays qu’il aime et espère aimer longtemps. Sa condition de solitaire l’amène à une certaine fragilité, mais le place aussi à distance des évènements.
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Depuis le 13 mai 2024, il n’a pas subi directement la violence bien qu’elle l’ait approché. Il n’a pas eu à supporter la maladie, le chômage, les privations sévères… le racisme ou la haine d’où qu’ils viennent. Par l’écriture et la photographie, il a utilisé deux médecines qui modifient l’espace-temps. C’est sans doute pour cela que la peur ne transpire pas de ces textes courts. Parfois l’humour porte assistance à l’auteur. Ce journal s’arrête le 31 juillet 2024, sans écrire le mot FIN… » (éditeur)
